France : menaces sur Victor Hugo et Zola, Napoléon et Louis XIV rayés de la carte scolaire !

Publié le par RN 1 ©Copyright Royauté-News2010

Je n'ai pas retrouvé pour l'instant les références d'alertes parues en 2009, qui faisaient état d'une désapprobation d'origine officielle, de ces deux piliers de la Littérature française que sont Hugo et Zola. La bibliothèque d'une ville française les avait même paraît-il "mis à l'index" !

 

Pas dans la philosophie des tenants de l'autorité. Evidemment comme tout ce qui rappelle la dénonciation de l'esclavage industriel du 19° siècle, dont la population fut victime de la part des élites banco-libérales et industrielles. Puisque nous sommes aujourd'hui dans une phase plus que virulente du programme ultra-libéral qui prévoit (entre autres...) de faire travailler les gens jusqu'au trépas. Les deux gourous qui inspirent dans l'ombre le pouvoir sur les questions religieuses et philosophiques ne sont sans doute pas pour rien dans cette désaffection. On les disait, sinon proches eux-mêmes, du moins bien considérés de cette petite partie des royalistes français, réactionnaire, peu nombreuse mais la plus visible.

 

Mais on ne s'arrête pas là. Napoléon et Louis XIV disparaissent pratiquement des manuels scolaires. Conséquence des mesures de l'inénarrable Darcos, de "réorienter" (bienvenue au goulag français !  Rééducation, lavage de cerveau, tout y est...) les programmes d'enseignement de l'Histoire vers "l'ouverture aux autres civilisations de notre monde".

 

Donc, en clair, si votre cerveau n'a pas été lavé par vingt ou trente ans de propagande universelle, omniprésente, virulente, sans répit, on peut compter sur l'honnête autorité publique pour donner le coup de grâce. Il y a d'ailleurs longtemps que ça dure. 

 

L'historien Dimitri Casali dénonce "une véritable déconstruction nationale".

 

Pour notre part, nous appellons les parents à contrer ces mesures en enseignant l'Histoire du pays eux-mêmes à leurs enfants, en leur faisant donner des cours extérieurs, (qui pourraient s'organiser pour former des classes), et en même temps, à retirer leurs enfants des cours d'Histoire ainsi rectifiés. L'école n'est pas le lieu où peut s'effectuer la propaganda des sectes révisionnistes hyper-libérales.

 

Il n'y a d'autre remède à apporter, parallèlement, que d'opérer un renversement complet des mythes sur lesquels un pouvoir, sous bandeaux réversibles, soutenu par des "élites" bêtifiées, serviles, hypnotisées par leur propre intérêt, se maintient, depuis une vingtaine d'années (pour ne pas remonter plus haut).

 

Il faut en même temps et pour cela dénoncer ce qui doit l'être : tandis que celles des élites françaises qui représentent la tradition, n'imaginent même pas ce qui se passe dans leur pays, des lobbies de pensée et de pouvoir nuisibles inscrivent à leur nez et à leur barbe des mesures de révolution et de déconstruction d'identité auxquelles les formations considérées à juste titre comme les plus extrémistes, les plus marquées, de la sphère publique, ne songeraient même pas. 

 

On aurait, paraît-il, les élites qu'on mérite ? Flanquons-les à la porte ! Ces pseudos représentants conservateurs qui ne conservent rien sauf à nous mettre en conserve.

 

Je considère que toutes les atteintes nettes ou sournoises, privées, publiques, associatives, intérieures, ou d'où qu'elles soient, portées depuis trop longtemps contre un pays, un Peuple, une culture, sont des crimes contre l'humanité et devront être poursuivis comme tels.

Publié dans Culture et Patrimoine

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