Mariage de Jean d'Orléans
Pour ce qui nous concerne, nous ne dirons rien ici du mariage prochain du Prince Jean d'Orléans le 2 mai prochain à Senlis.
Si cet événement n'était pas une occasion de contradiction comme il en est tant dès qu'il est question de cette famille, ce mariage serait une occasion de nous réjouir. Une occasion relative, car ce mariage ne correspond pas à ce que l'on attend d'un Prince de la Maison Royale de France même si la future épouse ne manque, comme nous le croyons d'aucune qualité.
Ce mariage a été monopolisé par les agitateurs royalistes. Dès lors, il se situe en dehors de la vie d'une famille royale ou de son calendrier naturel, pour devenir seulement un fait sans intérêt sinon apportant toujours plus au moulin de la critique.
Dans l'article du Figaro relatant le mariage civil - qui aurait dû avoir lieu ailleurs ou devant un fonctionnaire neutre ou inconnu - la non-qualité des informations est au même niveau que ce qu'on trouve dans les discussions de bas étage des caciques royalistes par exemple. Preuve que cette famille royale n'a rien à dire, rien à apporter, sinon une perpétuelle candidature - à quoi, d'ailleurs ? et qui depuis longtemps n'a plus aucun sens.
L'ancien Comte de Paris ( 1908-1999) avait tracé une voie élevée, une voie nouvelle. Il n'a pas été suivi. Même si nous le regrettons, nous considérons pour notre part que cette famille ne représente aucun espoir pour l'avenir, pour l'instant du moins.
C'est un cas propre à la France, semble-t-il, que ce pays ne puisse pas avoir une véritable famille royale comme il en est partout, même dans les pays où elle ne règne plus. La maison royale de France ne représente au mieux qu'un fantasme, et le plus souvent depuis de nombreuses années, une roue de secours aux peu reluisants régimes en place.
La surdité criminelle des pseudos-élites françaises est à un point tel qu'il n'existe aucun motif de se réjouir dans la situation d'infâme actualité qui est celle du monde aujourd'hui, comme ce divorce, semblable à celui des années Trente, d'avec la raison.
Si cet événement n'était pas une occasion de contradiction comme il en est tant dès qu'il est question de cette famille, ce mariage serait une occasion de nous réjouir. Une occasion relative, car ce mariage ne correspond pas à ce que l'on attend d'un Prince de la Maison Royale de France même si la future épouse ne manque, comme nous le croyons d'aucune qualité.
Ce mariage a été monopolisé par les agitateurs royalistes. Dès lors, il se situe en dehors de la vie d'une famille royale ou de son calendrier naturel, pour devenir seulement un fait sans intérêt sinon apportant toujours plus au moulin de la critique.
Dans l'article du Figaro relatant le mariage civil - qui aurait dû avoir lieu ailleurs ou devant un fonctionnaire neutre ou inconnu - la non-qualité des informations est au même niveau que ce qu'on trouve dans les discussions de bas étage des caciques royalistes par exemple. Preuve que cette famille royale n'a rien à dire, rien à apporter, sinon une perpétuelle candidature - à quoi, d'ailleurs ? et qui depuis longtemps n'a plus aucun sens.
L'ancien Comte de Paris ( 1908-1999) avait tracé une voie élevée, une voie nouvelle. Il n'a pas été suivi. Même si nous le regrettons, nous considérons pour notre part que cette famille ne représente aucun espoir pour l'avenir, pour l'instant du moins.
C'est un cas propre à la France, semble-t-il, que ce pays ne puisse pas avoir une véritable famille royale comme il en est partout, même dans les pays où elle ne règne plus. La maison royale de France ne représente au mieux qu'un fantasme, et le plus souvent depuis de nombreuses années, une roue de secours aux peu reluisants régimes en place.
La surdité criminelle des pseudos-élites françaises est à un point tel qu'il n'existe aucun motif de se réjouir dans la situation d'infâme actualité qui est celle du monde aujourd'hui, comme ce divorce, semblable à celui des années Trente, d'avec la raison.