L'avenir royal français
En attendant les articles annoncés, et parmi eux ceux qui doivent présenter le site de façon approfondie pour les nouveaux lecteurs toujours plus nombreux, empressons-nous de dire que le sujet des familles royales, notamment pour ce qui concerne la France, n'est pas traité ici le moins du monde du point de vue royaliste. Pour une première bonne raison que nous ne somme pas royaliste.
Sur ce site, non consacré à l'actualité quotidienne des maisons royales, mais au débat fondamental d'ordre actuel mais aussi historique, nous évoquons les grandes questions royales européennes susceptibles de ressort, prenant à coeur l'héritage culturel et moral légué par une civilisation désormais en lambeaux.
Il ne s'agit pas pour nous de convoyer, à travers l'évocation de telle ou telle famille, et en particulier de la famille de France, telle ou telle optique de forme royaliste au sens traditionnel du terme, telle ou telle option publique défendue par ses représentants encore moins.
Comme nous l'avons dit déjà, nous désapprouvons les rapports de proximité bienveillante, proches de la connivence, entretenus avec l'actuel système français par les représentants les plus médiatiques de la famille de France.
C'est dans sa personnalité dynastique, dans son existence en tant que famille royale, que nous la soutenons. Ce qui au reste, est déjà beaucoup.
Quant à l'avenir éventuel d'une royauté française, dont les partisans, tout en insistant beaucoup sur le fait qu'elle n'est pas à l'ordre du jour, tentent de séduire par tous les moyens le circuit médiatique, on peut sans s'avancer estimer deux choses.
La première est que ce n'est pas avec eux que cet avenir, s'il existait, prendrait jour.
La seconde, que la maison capétienne, qui a longtemps servi le pays, ne saurait s'appuyer sur cette vérité pour gager d'un avenir royal, qui plus que pour toute autre famille royale sans doute, est bel et bien derrière elle.
Sur ce site, non consacré à l'actualité quotidienne des maisons royales, mais au débat fondamental d'ordre actuel mais aussi historique, nous évoquons les grandes questions royales européennes susceptibles de ressort, prenant à coeur l'héritage culturel et moral légué par une civilisation désormais en lambeaux.
Il ne s'agit pas pour nous de convoyer, à travers l'évocation de telle ou telle famille, et en particulier de la famille de France, telle ou telle optique de forme royaliste au sens traditionnel du terme, telle ou telle option publique défendue par ses représentants encore moins.
Comme nous l'avons dit déjà, nous désapprouvons les rapports de proximité bienveillante, proches de la connivence, entretenus avec l'actuel système français par les représentants les plus médiatiques de la famille de France.
C'est dans sa personnalité dynastique, dans son existence en tant que famille royale, que nous la soutenons. Ce qui au reste, est déjà beaucoup.
Quant à l'avenir éventuel d'une royauté française, dont les partisans, tout en insistant beaucoup sur le fait qu'elle n'est pas à l'ordre du jour, tentent de séduire par tous les moyens le circuit médiatique, on peut sans s'avancer estimer deux choses.
La première est que ce n'est pas avec eux que cet avenir, s'il existait, prendrait jour.
La seconde, que la maison capétienne, qui a longtemps servi le pays, ne saurait s'appuyer sur cette vérité pour gager d'un avenir royal, qui plus que pour toute autre famille royale sans doute, est bel et bien derrière elle.