Le site
Royauté-News n'est pas un site relié de près ou de loin à la politique, et son auteur ne fait pas de politique.
A la suite de sujets quelquefois soulevés ailleurs, ou d'avis tenus ici-même, il peut apparaître à certains que ce serait peut-être le cas. Il n'en est rien.
Certaines personnes, certains responsables de sites ou de blogs importants m'avaient déjà fait cette remarque et refusé un lien, parmi eux un journaliste connu notamment, car il croyaient, par la présence de liens particuliers existant alors, que ce site avait une implication de nature politique, en l'occurence royaliste.
Royauté-News est un site d'abord culturel. Nous traversons une époque qui voit assassiner la civilisation. Royauté-News défend et défendra la civilisation. C'est aussi simple que cela, et la politique n'a rien à voir là-dedans. Sauf à dire que, précisément, c'est l'exercice de la politique par des acteurs condamnables qui produit cette ruine. Le thème des familles royales a été choisi car il m'est un thème familier abordé dans son principe, et car il symbolise la base de la culture, identifiable avec ce qui existe, et avec ce que l'on a reçu. Aussi, car il est possible de parler des membres des familles royales, car ils sont des personnages publics, ce qui n'est pas le cas des familles descendues des aristocraties pour, à dessein, user de ce terme.
Personnellement, je m'oppose au Système. Quel est ce Système ? Le mode de fonctionnement politique, au sens du régime dans lequel vivent les pays d'Ouest ? Assurément pas. Le Système, pour définir en deux mots ce à quoi j'attribue ce nom, est la maladie de civilisation qui ruine peu à peu depuis quelques décennies toutes choses que nous avons connues et auxquelles chacun était en droit de partager. Comme de son héritage.
Cette définition que je donne au Système, n'est pas celle par exemple des contestataires idéologiques qui pourfendaient au XX° siècle et quelquefois encore, le monde libre. Ceux-là appartenaient à la guerre idéologique, à la dispute propre aux mastodontes qui s'y affrontaient. Tandis que le rêve supérieur qui siège dans le Prince résoud à dépasser les querelles, et à en soustraire de manière juste les motifs.
Je n'ai pas de sympathie particulière pour les régimes fonctionnant aujourd'hui avec un roi ou une reine à leur tête, disposant certes d'un fort pouvoir symbolique, mais n'intervenant pas dans la conduite des affaires. Mais la raison de mon attachement à leur existence provient des familles qu'elles étaient et en partie demeurent. De leur passé glorieux, et par coup celui de leur pays.
Nous sommes dans la zone Danger, et en réalité nous l'avons depuis un certain temps dépassée. il est de mon devoir d'en alerter.
Ceux qui lisent mes notes de façon habituelle ont compris que je ne servais aucun système, que je n'entrais dans aucune catégorie. Les catégories, je les ordonne, ceux qui ne souhaitent pas l'admettre sont libres de trouver ailleurs, s'ils existent, des modèles qui leur conviennent. Comme de revenir ici lorsqu'ils se seront aperçus qu'il n'en existe pas.
La royauté est le symbole qui s'oppose à l'esclavage. Elle est une des notions fondamentales de l'Humanité, un fondement de toutes les civilisations et de toutes les cultures. Bien entendu, elle s'adapte, se construit, différemment selon les époques et selon le pays. Certaines échouent, ce fut le cas en France. Certains contemporains, perdus au milieu d'un univers qui ne leur donne pas de place, et qui par ailleurs tend vers l'absurde, croient trouver dans l'idéalisation d'une monarchie qui a échoué, en France, dans les derniers siècles de son existence, la solution qui sauverait tout comme par miracle. Mirage manifeste. Mais là nous sortons du caractère général de la royauté pour décrire un phénomène particulier, situé précisément dans le Temps et la géographie.
J'observe un droit de regard sur les choses du monde présent. Aucune d'elles n'échappe, ne peut échapper à ce regard, à ce droit de contrôle.
Et ce n'est pas l'infestation des esprits royaux officiels, ceux des membres de l'ancienne dynastie Capétienne, âmes damnées du Système, qui saurait s'imposer du contaire.
A la suite de sujets quelquefois soulevés ailleurs, ou d'avis tenus ici-même, il peut apparaître à certains que ce serait peut-être le cas. Il n'en est rien.
Certaines personnes, certains responsables de sites ou de blogs importants m'avaient déjà fait cette remarque et refusé un lien, parmi eux un journaliste connu notamment, car il croyaient, par la présence de liens particuliers existant alors, que ce site avait une implication de nature politique, en l'occurence royaliste.
Royauté-News est un site d'abord culturel. Nous traversons une époque qui voit assassiner la civilisation. Royauté-News défend et défendra la civilisation. C'est aussi simple que cela, et la politique n'a rien à voir là-dedans. Sauf à dire que, précisément, c'est l'exercice de la politique par des acteurs condamnables qui produit cette ruine. Le thème des familles royales a été choisi car il m'est un thème familier abordé dans son principe, et car il symbolise la base de la culture, identifiable avec ce qui existe, et avec ce que l'on a reçu. Aussi, car il est possible de parler des membres des familles royales, car ils sont des personnages publics, ce qui n'est pas le cas des familles descendues des aristocraties pour, à dessein, user de ce terme.
Personnellement, je m'oppose au Système. Quel est ce Système ? Le mode de fonctionnement politique, au sens du régime dans lequel vivent les pays d'Ouest ? Assurément pas. Le Système, pour définir en deux mots ce à quoi j'attribue ce nom, est la maladie de civilisation qui ruine peu à peu depuis quelques décennies toutes choses que nous avons connues et auxquelles chacun était en droit de partager. Comme de son héritage.
Cette définition que je donne au Système, n'est pas celle par exemple des contestataires idéologiques qui pourfendaient au XX° siècle et quelquefois encore, le monde libre. Ceux-là appartenaient à la guerre idéologique, à la dispute propre aux mastodontes qui s'y affrontaient. Tandis que le rêve supérieur qui siège dans le Prince résoud à dépasser les querelles, et à en soustraire de manière juste les motifs.
Je n'ai pas de sympathie particulière pour les régimes fonctionnant aujourd'hui avec un roi ou une reine à leur tête, disposant certes d'un fort pouvoir symbolique, mais n'intervenant pas dans la conduite des affaires. Mais la raison de mon attachement à leur existence provient des familles qu'elles étaient et en partie demeurent. De leur passé glorieux, et par coup celui de leur pays.
Nous sommes dans la zone Danger, et en réalité nous l'avons depuis un certain temps dépassée. il est de mon devoir d'en alerter.
Ceux qui lisent mes notes de façon habituelle ont compris que je ne servais aucun système, que je n'entrais dans aucune catégorie. Les catégories, je les ordonne, ceux qui ne souhaitent pas l'admettre sont libres de trouver ailleurs, s'ils existent, des modèles qui leur conviennent. Comme de revenir ici lorsqu'ils se seront aperçus qu'il n'en existe pas.
La royauté est le symbole qui s'oppose à l'esclavage. Elle est une des notions fondamentales de l'Humanité, un fondement de toutes les civilisations et de toutes les cultures. Bien entendu, elle s'adapte, se construit, différemment selon les époques et selon le pays. Certaines échouent, ce fut le cas en France. Certains contemporains, perdus au milieu d'un univers qui ne leur donne pas de place, et qui par ailleurs tend vers l'absurde, croient trouver dans l'idéalisation d'une monarchie qui a échoué, en France, dans les derniers siècles de son existence, la solution qui sauverait tout comme par miracle. Mirage manifeste. Mais là nous sortons du caractère général de la royauté pour décrire un phénomène particulier, situé précisément dans le Temps et la géographie.
J'observe un droit de regard sur les choses du monde présent. Aucune d'elles n'échappe, ne peut échapper à ce regard, à ce droit de contrôle.
Et ce n'est pas l'infestation des esprits royaux officiels, ceux des membres de l'ancienne dynastie Capétienne, âmes damnées du Système, qui saurait s'imposer du contaire.