DS Le Magazine, n° 1
Me souvenant de l'ancien DS Magazine (ci-dessous), auquel présidait Vanessa van Zuylen, j'ai sauté sur la reparution du titre, et donc sur ce numéro 1.
La direction et l'équipe encadrées par Nathalie et Caroline Ayache et Maud-Cohen-Solal envoient un numéro qui ne manque pas d'attrait, de mesure ni de rubriques. Même si on ne peut toujours juger de la suite sur le premier numéro, le style général semble donné cependant, et l'on sent la maîtrise de la conception, de la compo et de la mise en page d'une revue, art devenu on ne peut plus difficile dans la jungle de la parution des titres féminins en particulier, il faut le dire, trop touffue et en recomposition constante.
Si je n'aime pas tomber, en feuilletant un revue, sur les sujets de l'actualité qui partout nous sautent à la gorge, au moins dans ce numéro ils ne sont pas appuyés et n'excèdent pas une page. On débute sur les pages classique, brèves, et c'est aussi bien comme ça, du panorama de la mode, puis quelques livres/émissions/films/expos, en encarts rapides, pour découvrir la page Muse, Sarah Assbring,la page "Museau" (?), Alessandro Nivola, la page écrite par une personnalité (bonne idée) : le romancier et cinéaste palme d'or à Cannes, François Bégaudeau, auteur de l'antimanuel de littérature. Puis la page "coup de gueule", offerte à "un people, questions d'actualité ... le moment de se lâcher!" : cette présentation-là, on s'en serait passé... Puis on saute sur l'interview de Marie Gillain.
Avant de se scratcher sur "La pol(1). classe mannequin". Là, je dis non ! Puis de s'enliser sur des sujets sociologiquement corrects qui heureusement n'excèdent pas cinq pages photos comprises. L'équilibre est retrouvé dès la bonne deuxième moitié de la revue consacrée aux fondamentaux : grands articles de mode, photos valant le détour et choix de styles intéressants ! Suit (la nécessaire ?) page écolo, puis la page "2filles 1ville", pour bien oublier ce qui avait pu faire rêver, une page cuisine (sur le turbot) qui donne chair à une revue tendance qui s'achève sur les pages Humeurs, mythes, et Une nuit avec... Herman Düne en l'occurence et les pages indispensables d'une revue classique en laquelle, jusqu'à l'horoscope, rien n'est oublié. Elle passe le cap de ma critique avec facilité ! Ah, j'oubliais : le sommaire, facile à lire, tient sur une page et on n'a pas besoin d'un convertisseur de fichiers pour en venir à bout. A découvrir !
Si je n'aime pas tomber, en feuilletant un revue, sur les sujets de l'actualité qui partout nous sautent à la gorge, au moins dans ce numéro ils ne sont pas appuyés et n'excèdent pas une page. On débute sur les pages classique, brèves, et c'est aussi bien comme ça, du panorama de la mode, puis quelques livres/émissions/films/expos, en encarts rapides, pour découvrir la page Muse, Sarah Assbring,la page "Museau" (?), Alessandro Nivola, la page écrite par une personnalité (bonne idée) : le romancier et cinéaste palme d'or à Cannes, François Bégaudeau, auteur de l'antimanuel de littérature. Puis la page "coup de gueule", offerte à "un people, questions d'actualité ... le moment de se lâcher!" : cette présentation-là, on s'en serait passé... Puis on saute sur l'interview de Marie Gillain.
Avant de se scratcher sur "La pol(1). classe mannequin". Là, je dis non ! Puis de s'enliser sur des sujets sociologiquement corrects qui heureusement n'excèdent pas cinq pages photos comprises. L'équilibre est retrouvé dès la bonne deuxième moitié de la revue consacrée aux fondamentaux : grands articles de mode, photos valant le détour et choix de styles intéressants ! Suit (la nécessaire ?) page écolo, puis la page "2filles 1ville", pour bien oublier ce qui avait pu faire rêver, une page cuisine (sur le turbot) qui donne chair à une revue tendance qui s'achève sur les pages Humeurs, mythes, et Une nuit avec... Herman Düne en l'occurence et les pages indispensables d'une revue classique en laquelle, jusqu'à l'horoscope, rien n'est oublié. Elle passe le cap de ma critique avec facilité ! Ah, j'oubliais : le sommaire, facile à lire, tient sur une page et on n'a pas besoin d'un convertisseur de fichiers pour en venir à bout. A découvrir !
(1) : pas de gros mot sur ce site...