Cinéma : j'ai aimé...
Je ne voulais pas voir Good Morning England. Je l'ai donc réservé pour la fin. Et comme très souvent dans ce cas, le film m'a beaucoup plu !
C'est d'abord une immersion dans un style musical toujours actuel : celui des Années Soixante ! Ainsi que dans la Mer du Nord, et c'est ce qui m'a décidé alors que j'hésitais : les radios libres, héroïnes de ce film, émettaient à cette époque depuis des stations pétrolières ou de navires en Mer du Nord. La situation des plateformes pétrolières reconverties avait été évoquée rapidement dans cet autre article. Un bon moyen de raccorder le tout !
C'est un très agréable moment que ce très long film ! L'ambiance d'une équipe d'animateurs d'une célèbre radio libre anglaise, placée sous le coup de l'interdiction d'émettre par le gouvernement anglais d'alors. Une plongée dans une époque suffisamment éloignée de la nôtre pour lui trouver une saveur unique : celle de la Liberté ! Car la vie était encore libre, tout était à découvrir.
Un mariage de rêve et les subtils paysages de la campagne anglaise. Les Années Trente et l'aventure d'une américaine aux prises avec une belle-mère anglaise difficile à vivre. J'ai beaucoup aimé ces personnages, joués par les talentueux Jessical Biel, Ben Barnes, Kristin Scott Thomas et Colin Firth. Là aussi, la passionante liberté d'une de ces femmes d'exception comme il y en eut avant-guerre.
Vengeance est un film de qualité maltraité par la présomptueuse critique du Festival de Cannes. Le film de Johnnie To, avec Johnny, est construit comme un film chinois classique. C'est ce qui a échappé sans doute aux censeurs de la rubrique officielle. Même si le début surprend et laisse voir comme un Johnny posé là et qui paraît peu dégourdi au début, l'ensemble prend vite relief car tout simplement la simplicité des films chinois et leur constitution de base laissent apparaître les personnages et les "décors de situation" tels qu'il sont en réalité. Un personnage pour Johnny, qui lui ressemble, qu'il pourrait être, etqu'il n'a donc pas besoin de jouer. D'où l'impression de décalé par rapport à toutes les comédies de qualité dans lesquelles se donnent les grands acteurs français ou anglo-américains, qui à force de génie, de métier, d'art cinématographique, exhibent plus leur propre personnalité et leur rôle d'acteur que ceux de personnages plus ternes de la vie réelle. C'est tout pour aujourd'hui.
C'est d'abord une immersion dans un style musical toujours actuel : celui des Années Soixante ! Ainsi que dans la Mer du Nord, et c'est ce qui m'a décidé alors que j'hésitais : les radios libres, héroïnes de ce film, émettaient à cette époque depuis des stations pétrolières ou de navires en Mer du Nord. La situation des plateformes pétrolières reconverties avait été évoquée rapidement dans cet autre article. Un bon moyen de raccorder le tout !
C'est un très agréable moment que ce très long film ! L'ambiance d'une équipe d'animateurs d'une célèbre radio libre anglaise, placée sous le coup de l'interdiction d'émettre par le gouvernement anglais d'alors. Une plongée dans une époque suffisamment éloignée de la nôtre pour lui trouver une saveur unique : celle de la Liberté ! Car la vie était encore libre, tout était à découvrir.
Un mariage de rêve et les subtils paysages de la campagne anglaise. Les Années Trente et l'aventure d'une américaine aux prises avec une belle-mère anglaise difficile à vivre. J'ai beaucoup aimé ces personnages, joués par les talentueux Jessical Biel, Ben Barnes, Kristin Scott Thomas et Colin Firth. Là aussi, la passionante liberté d'une de ces femmes d'exception comme il y en eut avant-guerre.
Vengeance est un film de qualité maltraité par la présomptueuse critique du Festival de Cannes. Le film de Johnnie To, avec Johnny, est construit comme un film chinois classique. C'est ce qui a échappé sans doute aux censeurs de la rubrique officielle. Même si le début surprend et laisse voir comme un Johnny posé là et qui paraît peu dégourdi au début, l'ensemble prend vite relief car tout simplement la simplicité des films chinois et leur constitution de base laissent apparaître les personnages et les "décors de situation" tels qu'il sont en réalité. Un personnage pour Johnny, qui lui ressemble, qu'il pourrait être, etqu'il n'a donc pas besoin de jouer. D'où l'impression de décalé par rapport à toutes les comédies de qualité dans lesquelles se donnent les grands acteurs français ou anglo-américains, qui à force de génie, de métier, d'art cinématographique, exhibent plus leur propre personnalité et leur rôle d'acteur que ceux de personnages plus ternes de la vie réelle. C'est tout pour aujourd'hui.
