L'actualité de Royauté-News
Dans le dernier Paris-Match affichant Carla Bruni en couverture, Caroline Pigozzi, dans un très bel article présente la famille de la femme du jour et le cadre qui a baigné son enfance.
Ce qui a retenu mon attention est que, parlant de l'Opéra Regio, bâti par le père de Carla à Turin, la ville y soit désignée comme la capitale du duché de Savoie. Outre la capitale du piémont, Turin était celle des Etats de Savoie, ce qui est fort différent... Mais cette inexactitude n'ôte rien au plaisir offert par cet article.
Un thème revient ces temps-ci dans la presse la plus sérieuse : la critique de l'actuel gouvernement et surtout de celui qui le préside s'effectue au moyen de comparatifs assez louches : "La France est-elle une monarchie ?" "Le monarque (...) et la comtesse Carla..." Ces remarques, envisagées depuis le point de vue de Royauté-News sont absurdes, et tout autant le sont-elles depuis celui de l'intérêt général.
C'est ici qu'intervient la critique de fond que j'exerce à l'encontre des descendants impropres de l'ancienne aristocratie française, la seule ici concernée : leur absence brillante lorsque de vastes périls nécessiteraient au moins un éclair de conscience, correspond au constat que même deux cent vingt ans environ après 1789 les réflexes compartimentaires, les référents primaires, n'ont jamais cessé d'occuper les mentalités. Cette inexistence des notions de base dans l'esprit des contemporains est fort grave, et elle signe, d'une manière absolue, que la république en France dans ses différents avatars a fait fausse route.
Ce qui a retenu mon attention est que, parlant de l'Opéra Regio, bâti par le père de Carla à Turin, la ville y soit désignée comme la capitale du duché de Savoie. Outre la capitale du piémont, Turin était celle des Etats de Savoie, ce qui est fort différent... Mais cette inexactitude n'ôte rien au plaisir offert par cet article.
Un thème revient ces temps-ci dans la presse la plus sérieuse : la critique de l'actuel gouvernement et surtout de celui qui le préside s'effectue au moyen de comparatifs assez louches : "La France est-elle une monarchie ?" "Le monarque (...) et la comtesse Carla..." Ces remarques, envisagées depuis le point de vue de Royauté-News sont absurdes, et tout autant le sont-elles depuis celui de l'intérêt général.
C'est ici qu'intervient la critique de fond que j'exerce à l'encontre des descendants impropres de l'ancienne aristocratie française, la seule ici concernée : leur absence brillante lorsque de vastes périls nécessiteraient au moins un éclair de conscience, correspond au constat que même deux cent vingt ans environ après 1789 les réflexes compartimentaires, les référents primaires, n'ont jamais cessé d'occuper les mentalités. Cette inexistence des notions de base dans l'esprit des contemporains est fort grave, et elle signe, d'une manière absolue, que la république en France dans ses différents avatars a fait fausse route.