Les comtesses de la Gestapo, livre de Cyril Eder
J'ai feuilleté le livre de Cyril Eder, les comtesses de la gestapo (Grasset).
Cette époque terrible convoyait son lot de séductrices et son train d'aventurières de la mort. Pour le meilleur comme pour le pire, quand les milieux résistants cotoyaient galantes et noms illustres, à travers les sphères du pouvoir mondain dont les abouchements avec un certain milieu de la Collaboration menait des eaux vichystes jusqu'aux sables mouvants de la perdition.
Cette époque terrible convoyait son lot de séductrices et son train d'aventurières de la mort. Pour le meilleur comme pour le pire, quand les milieux résistants cotoyaient galantes et noms illustres, à travers les sphères du pouvoir mondain dont les abouchements avec un certain milieu de la Collaboration menait des eaux vichystes jusqu'aux sables mouvants de la perdition.
Attention, ce livre n'est ni une saga ni un ouvrage de référence. Il égrène quelques faits, sans réel trait d'aventure, avec trop peu de détails et de références.
Son intérêt est de montrer que des personnages en lien avec les milieux franquistes se sont retrouvés à Paris ou en France, immédiatement mêlés aux épisodes peu glorieux des années d'occupation.
Son intérêt est de montrer que des personnages en lien avec les milieux franquistes se sont retrouvés à Paris ou en France, immédiatement mêlés aux épisodes peu glorieux des années d'occupation.
On se plaira à retrouver, plus ou moins heureusement évoqués - surtout par manque de justifications - quelques noms qui nous sont proches, certains chers au coeur russe, Tchernitcheef, Obolenski... Celui de la chère vieille Olga Galitzine, que j'ai quelquefois croisée ; celui d'une marquise de San Carlos de Pedroso ; s'agit-il de ces San Carlos installés en France, avant-guerre, dont je dirai un mot ici ou là ? Je ne l'ai pas vérifié.