Autour de la cérémonie de Reims - Louis de Bourbon s'exprime
La presse rémoise a illustré la visite de Louis de Bourbon à la cérémonie de fondation de la Cathédrale de Reims.
Les propos du Prince Louis de Bourbon sont à noter et en outre ils atteindront, par leur texture, certainement les Légitimistes français mais aussi les autres mouvances.
Les autres informations dans ces articles évoquent densément des aspects qui ne resteront pas sans doute indifférents à l'univers traditionnel des royalistes français.
Pour moi, qui ne suis pas royaliste au sens ordinaire où l'on comprend ce terme, et parce que je veux transmettre une sensibilité particulière, cependant et profondément je vibre avec eux, pour des raisons en partie semblables avec celles qui sont les leurs et aussi pour d'autres raisons, avec les Légitimistes.
A plus d'un titre, je suis heureux qu'une équipe du site ait participé à cette journée à Reims du 15 Mai. (Les très belles images vont continuer apparaître encore !). Et c'était la première d'une couverture d'un événement sur place par une équipe de Royauté-News, pour laquelle je remercie RN 2. J'aurais aimé être là pour la ferveur simple, ici, au pied du souvenir antique abrité dans l'antique cathédrale qui n'est elle-même qu'une continuation portant celle même de Clovis, celle de la fondation de la royauté chrétienne en France, au pied des lys représentés sur la tenture disposée au Palais du Tau où le Prince s'est adressé à ceux qui étaient là après la cérémonie.
Ici, la royauté des Lys en France, a sa place ici. Nous le reverrons très vite...
L'Union presse : Louis de Bourbon, rémois d'un jour
800° anniversaire de la Cathédrale : extraordinaire messe
Dans la vidéo filmée par l'équipe de RN 2, on voit la sortie nombreuse du clergé, au son de chants et de trompettes , s'achevant sur le Te Deum de Marc-Antoine Charpentier, également au son des trompettes. Ceux que RN 2 évoquait l'autre jour pouvaient, même si cela ne semble pas être le cas, être effectivement des diacres en dalmatique, car les vêtements modernes adoptent une coupe la plupart du temps semblable les uns avec les autres, et car ils venaient après les diacres portant sur une épaule et en travers du corps une étole (bande de tissu, qui est un vêtement liturgique) et avant les prêtres que portent l'étole, se portant, double, autour du cou et descendant sur chaque côté.