Diverses choses témoignant d'une situation générale obscure
L'Europe ("ce machin..." disait de Gaulle) continue d'empoisonner toutes choses et de peser (sans droit) sur les décisions des pays-membres (aveu que les technocrates imbus et diplômés sont incapables de prendre des décisions eux-mêmes ?). Les exemples, il y en aurait mille, nous n'en prendrons qu'un (clic !) , et ce n'est pas un Poisson d'Avril. Les suventions européennes pour la Pêche mettent en péril les ressources disponibles.
On appréciera (l'intention ? de) la remarque faisant de la Langue Française "la langue de Voltaire". Je connaissais la Langue de Molière, il est vrai que tout ça... finit par terre.
Le phénomène n'est pas nouveau, cela dure depuis plus de vingt ans. De nombreux diplômés et enseignants faisant des fautes (de Français, pas d'orthographe) catastrophiques... Tout cela ayant été savamment encouragé, et surtout imposé : je parle du recul de la Langue Française dans le monde.
L'orthographe est un élément indispensable de la compréhension, surtout dans la Langue Française. Elle contribue à sa richesse et à sa beauté, quoi qu'en disent ceux qui font campagne pour sa simplification. Il n'est certes pas grave, de faire quelques fautes, lorsqu'on est adulte, c'est naturel même lorsqu'on a suivi une formation classique. Le drame est que les plus jeunes sortent du lycée et de l'université sans connaître leur Langue, la comprendre, l'apprécier. Savoir l'utiliser encore moins.
Une semaine après les 40 ans de la Francophonie, on mesure le détalage, pour ne pas dire le décalage.
Mais quand on sait que Mme L, ministre français des finances donne ses notes à ses collaborateurs rédigées en Anglais... on comprend un peu mieux...
Ce qui suit (clic !) participe de la même nature des choses. De même que l'introduction du gavage obligatoire par Internet a permis la suppression de beaucoup de signes, de beaucoup de particularités nécessaires et indispensables de la langue Française et sans doute aussi des autres Langues d'Europe, au profit du prêt-à-mâcher américain. La suppression de la notion des majuscules (entamée depuis assez longtemps chez certains éditeurs progressistes) et allant de pair avec la confusion entre noms propres et noms communs, fait partie aussi de l'entreprise de dépersonnalisation humaine destinée à rendre les ex-citoyens un peu plus esclaves du système parce que toujours plus dépourvus de repères, de racines, et de lien avec l'intelligence. Sur beaucoup de sites, les noms propres sont désormais écrits de travers. Plus de minuscules, ou de majuscules, quand il faut.
Les Allemands, par exemple, regrettent la suppression imposée voici quelques années d'un seul coup, de la graphie classique imprimée. Et ils ont raison.
"Tir dans un lycée de Strasbourg : que s'est-il passé ?" s'interroge quelqu'un. Rien que de normal. S'il n'y avait pas de coup de feu dans les lycées ou à l'extérieur, pas de meurtres, pas de menaces ni de passages à tabac, quelque chose ne serait pas normal. L'info est déjà ancienne, elle date d'hier (peut-être d'avant-hier). Il s'est passé beaucoup de choses depuis, dans le même genre. C'est bien. Continuez.
Le sujet suivant (clic !), qui entre temps a changé d'adresse (pour qu'il soit impossible, ou du moins difficile à trouver ?) est un sommet de malhonnêté intellectuelle et un détournement complet de la vérité : jamais, autonomie personnelle et dignité humaine n'ont été mises en concurrence dans l'esprit français jusqu'aux falsifications massives de la Constitution et du Droit survenues ces dernières années, notamment à la fin du 20° siècle et depuis. Tout cela, (ce dont traite l'article comme ce qui est indiqué ici) n'est possible que grâce à la virulence qui fut utilisée pour y parvenir et bien sûr à des manipulations hors d'échelle. Et il démontre quelle pauvreté intellectuelle est celle des "élites" qui prétendent aujourd'hui commander, alors que tout, même l'idée d'eux-mêmes, leur échappe.
Ecrire de telles choses porte un nom : à tout le moins cela s'appelle être siphoné.
La Belgique s'achemine vers l'interdiction de la tenue inappropriée sur le sol européen, et elle a raison.
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