Les nouvelles
Samedi dernier, tombant par hasard sur l'émission 66 Minutes de Canal Plus, j'y trouvai un sujet grave s'il en est et je me promettais de l'évoquer ici. Il se rapporte aux principales préoccupations d'actualité ressenties et dont ce site veut faire part.
En Thaïlande, de très jeunes enfants, livrés souvent par la volonté de leur famille à l'horreur du combat sur le ring dès leur très jeune âge, sont en grave danger et seul n'est pas en cause leur développement harmonieux physique, lié à la croissance, évoqué par cette utile émission, mais aussi leur principale et évidente santé psycho-affective.
Les combats ouverts aux paris font certes partie de l'univers thaïlandais. Mais il s'agit là d'enfants livrés dès le plus jeune âge, ( six à huit ans, et parfois dès l'âge de quatre ans ) à un entraînement éprouvant, et celui-ci ne vise pas leur préparation future pour le combat à l'âge adulte ou à l'adolescence, mais leur présence sur le ring pour des combats d'enfants.
Cette monstruosité n'est pas un fait isolé, dont on pourrait dire qu'il appartient au cadre d'une civilisation particulière comme des occidentaux qui encouragent voire participent à l'organisation de ces combats, voudraient le faire croire. Elle fait partie du scandale même du monde, y compris et je dirais même d'abord du monde occidental.
Je respecte toutes les civilisations et toutes les traditions du moins lorsqu'elles ne masquent pas une atteinte d'autre ressort à la dignité humaine. Mais le scandale des enfants mis sur le ring est une abomination qui, dans les circonstances présentées par le reportage, d'une part n'a rien de thaïlandais et d'autre part a pour influence principale l'atmosphère de toute la société mondiale.
L'organisation de ces combats a pour principal responsable l'enferrement du monde dans un processus remplaçant les économies saines par le champ de ruines de la pauvreté organisée, de la coercition économique directe et indirecte.
Cette bataille, qui n'est ni plus ni moins que celle de l'univers obscur contre le principe même de la vie, accomplit son oeuvre dans une indifférence répugnante, et avant tout avec la complicité active des lobbies balayant la totalité du spectre et ensemble d'accord pour aboutir au règne de terreur des neo-dictatures universellement épandues par les chapelets d'andouilles globales.
Tel abus, tel crime particulier, n'est plus dans le bilan qu'un vulgaire dommage collatéral. La dénonciation de ces crimes ne doit avoir de cesse. Pris au plan général, ils sont le produit de ce monde mis hors de sens par la nuisance sans limite des pseudo-élites. Rapporté au plan particulier, ils sembleraient n'être que des faits isolés parmi toutes les terreurs qui impriment le quotidien. Mais avec l'insupportable et ruminante indifférence de nos sociétés acceptant de se plaire au spectacle des êtres jetés dans l'arène. Nous en reparlerons.
En Thaïlande, de très jeunes enfants, livrés souvent par la volonté de leur famille à l'horreur du combat sur le ring dès leur très jeune âge, sont en grave danger et seul n'est pas en cause leur développement harmonieux physique, lié à la croissance, évoqué par cette utile émission, mais aussi leur principale et évidente santé psycho-affective.
Les combats ouverts aux paris font certes partie de l'univers thaïlandais. Mais il s'agit là d'enfants livrés dès le plus jeune âge, ( six à huit ans, et parfois dès l'âge de quatre ans ) à un entraînement éprouvant, et celui-ci ne vise pas leur préparation future pour le combat à l'âge adulte ou à l'adolescence, mais leur présence sur le ring pour des combats d'enfants.
Cette monstruosité n'est pas un fait isolé, dont on pourrait dire qu'il appartient au cadre d'une civilisation particulière comme des occidentaux qui encouragent voire participent à l'organisation de ces combats, voudraient le faire croire. Elle fait partie du scandale même du monde, y compris et je dirais même d'abord du monde occidental.
Je respecte toutes les civilisations et toutes les traditions du moins lorsqu'elles ne masquent pas une atteinte d'autre ressort à la dignité humaine. Mais le scandale des enfants mis sur le ring est une abomination qui, dans les circonstances présentées par le reportage, d'une part n'a rien de thaïlandais et d'autre part a pour influence principale l'atmosphère de toute la société mondiale.
L'organisation de ces combats a pour principal responsable l'enferrement du monde dans un processus remplaçant les économies saines par le champ de ruines de la pauvreté organisée, de la coercition économique directe et indirecte.
Cette bataille, qui n'est ni plus ni moins que celle de l'univers obscur contre le principe même de la vie, accomplit son oeuvre dans une indifférence répugnante, et avant tout avec la complicité active des lobbies balayant la totalité du spectre et ensemble d'accord pour aboutir au règne de terreur des neo-dictatures universellement épandues par les chapelets d'andouilles globales.
Tel abus, tel crime particulier, n'est plus dans le bilan qu'un vulgaire dommage collatéral. La dénonciation de ces crimes ne doit avoir de cesse. Pris au plan général, ils sont le produit de ce monde mis hors de sens par la nuisance sans limite des pseudo-élites. Rapporté au plan particulier, ils sembleraient n'être que des faits isolés parmi toutes les terreurs qui impriment le quotidien. Mais avec l'insupportable et ruminante indifférence de nos sociétés acceptant de se plaire au spectacle des êtres jetés dans l'arène. Nous en reparlerons.